La conférence s’est terminée, avec quarante-deux heures de retard, par la signature d’un accord minimal avec des pays plus divisés que jamais sur des sujets clés.
Les membres de la COP25 discutent avant la clôture de la conférence, le 15 décembre à Madrid. BERNAT ARMANGUE / AP
Elle aura été maudite jusqu’au bout. Refusée par le Brésil, annulée par le Chili, la 25e conférence des Nations unies sur le climat (COP25), finalement hébergée à Madrid, s’est achevée, dimanche 15 décembre, sur des avancées quasi insignifiantes. Elle s’est terminée sur un coup de marteau donné avec quarante-deux heures de retard, du jamais-vu dans l’histoire des négociations climatiques – les négociateurs, épuisés, adoptant des décisions qu’ils avaient, pour certains, à peine lues.
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