Le rapport des députées Claire PITOLLAT et Laurianne ROSSI sur les perturbateurs endocriniens présents dans les plastiques présente une très bonne synthèse de l’enjeu des perturbateurs endocriniens, pas seulement dans les matières plastiques mais plus largement dans les diverses sources d’exposition de la population.
En estimant que l’exposition aux Perturbateurs Endocriniens (PE) est « très préoccupante », il tire les conséquences du changement de paradigme des PE en mettant l’accent sur l’urgence d’agir : « Une prise de conscience relativement récente qui doit s’accélérer face à l’urgence » et sur les carences actuelles : la réglementation « très lacunaire », réglementation européenne « inadaptée et hétérogène ».
Le rapport constate « le besoin criant de développer des travaux de recherche qui sous-tendent les évolutions réglementaires », comme « les recherches sur les milieux, la faune et la flore (qui) doivent être impérativement intensifiées ». Il demande à l’Etat de « pleinement jouer son rôle stratégique » en contribuant « à établir de nouvelles interdictions et régulations sur la base du principe de précaution ».
Le rapport constate « le besoin criant de développer des travaux de recherche qui sous-tendent les évolutions réglementaires », comme « les recherches sur les milieux, la faune et la flore (qui) doivent être impérativement intensifiées ». Il demande à l’Etat de « pleinement jouer son rôle stratégique » en contribuant « à établir de nouvelles interdictions et régulations sur la base du principe de précaution ».
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