Les associations dénoncent depuis des années l’impact sur l’océan des micropolluants (phosphates des lessives, détergents...), que le passage de la tempête Amélie est venu rappeler.
Tempête de mousse à Biarritz, le 17 janvier 2018, notamment produite par les détergents qui finissent dans la mer. EMILIE DROUINAUD / PHOTOPQR/SUD OUEST/MAXPPP
Difficile d’ignorer ces paquets de mousse blanchâtre sur la grande plage de Biarritz. Le passage de la tempête Amélie, qui a secoué l’océan durant le week-end des 2 et 3 novembre, a déposé sur le littoral basque les résidus des embruns soulevés par les vagues et les vents très forts de cette première tempête automnale. « Ce phénomène engendre la formation d’aérosols (fines particules en suspension) », a décrit l’association du contrôle de la qualité de l’air ATMO Nouvelle-Aquitaine, signalant « des niveaux de particules plus élevés dans les départements littoraux ».
La suite...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire