vendredi 31 mars 2017

Créer collectivement un jardin-forêt en permaculture



Episode 1, la genèse du projet TERA

L'actualité du Parc Naturel Régional de l'Avesnois


Toutes les belles histoires méritent d'être explorées !
Partez à la découverte de l’Avesnois à travers les 8 parcours thématiques, ludiques et interactifs, au départ des villages d’Obies, Féron et Wallers en Fagne, de Le Quesnoy, de Maubeuge, du Val Joly, ou encore de Sars-Poteries pour le parcours cyclo. Selon les circuits et votre rythme vous compterez entre 1h et 2h30 de balade . Entre village et campagne, légendes …



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Jusque 2020, le territoire du Parc naturel régional de l'Avesnois bénéficie du programme européen LEADER. Ce programme doté de 1,33 millions d'€ a pour objectif d'encourager le développement économique durable du territoire.


Anor : Investissez localement dans les énergies renouvelables !
C’est aux côtés du Parc naturel régional de l’Avesnois que la commune d’Anor s’engage et contribue à la transition énergétique de son territoire. Après l’installation d’une chaudière bois-énergie et de son réseau de chaleur, la commune souhaite développer le photovoltaïque.

C’est une première sur l’arrondissement !
Accompagnée par l’Association Solis Métropole, la ville d’Anor travaille au développement des énergies renouvelables de son territoire et a pour volonté de créer la première centrale photovoltaïque citoyenne sur l’arrondissement d’Avesnes-sur-Helpe, territoire reconnu « Territoire à Énergie Positive pour la Croissance Verte » par le Ministère de l’environnement en février 2016.

Le projet :
C’est la salle Andrée-Beauné qui a été retenue par la commune et l’association Solis Métropole pour accueillir cette première centrale citoyenne. Le projet prévoit l’installation de deux centrales photovoltaïques : Une première centrale citoyenne 36 kWc portée en partie par des habitants du territoire au sein d’une coopérative, une seconde de 25 kWc gérée par la commune en autoconsommation.
En ce qui concerne la centrale citoyenne, le capital est ouvert à tout habitant qui voudrait apporter son concours au développement de ce projet et devenir à son tour acteur de la transition énergétique de son territoire !



Obligation de recours à un architecte à partir de 150 m2 dès le 1er mars 2017




Le Parc naturel régional de l’Avesnois propose de vous faire découvrir gratuitement le monde des rapaces nocturnes ! Rendez-vous le samedi 11 mars à Berlaimont. Bottes aux pieds et bien couvert, venez découvrir les chouettes et hiboux de l’Avesnois, leurs habitats, leur régime alimentaire et leur mode de vie, ainsi que quelques actions simples à mettre en place chez vous …

mercredi 29 mars 2017

Climat : Donald Trump engage une contre-révolution énergétique

Le président américain a signé mardi un décret remettant en cause l’essentiel de la réglementation mise en place par son prédécesseur pour lutter contre le réchauffement.


« La combinaison protégeant de tous les produits n’existe pas ».

Expert en ergonomie le professeur Alain Garrigou alerte sur l’efficacité limitée des EPI actuels, et prévient que les expositions ne sont pas celles que le professionnel peut croire.


lundi 20 mars 2017

Désormais L’Inra en est convaincu : la permaculture est rentable !


Après une grande recherche, l’Institut national de recherche agronomique confirme la rentabilité de la permaculture. Un grand pas en avant.

La permaculture charme enfin les plus grands spécialistes mondiaux de l’agriculture. Même (l’Inra) est désormais séduit par cette technique, il en aura fallu du temps ! La preuve avec cette recherche fascinantes aux résultats plus que spectaculaires.

La permaculture c’est de faire des produits biologique avant tout en respectant l’environnement en utilisant la nature plutôt que les produits chimiques. Dit comme cela , c’est facile, mais en réalité, est-ce que cela fonctionne, et peut-on gagner ça vie ? l’Inra répond que OUI, elle se base sur 4 années d’observation, rien que ça, de la ferme du Bec-Hellouin, en Normandie.


C’est entre 2011 et 2015, que les scientifiques ont étudié une petite parcelle de 1 000m2 seulement : 421m2 de serres, 233m2 de verger maraîcher et un jardin mandala en spirales de plus de 378m2 on est très loin des explorations agricoles gigantesques.

Cependant, à la fin de cette étude, l’Institut national de recherche agronomique (l’Inra ) affirme que cette petite surface de culture permettait de dégager un revenu net par mois d’une somme comprise entre 900 et 1570€ !



samedi 18 mars 2017

La première balade thermique douchynoise

Le quartier du Vieux-Douchy a été retenu pour cette première balade où l’imagerie thermique a été mise au service de dix habitants volontaires.


Cette balade, encadrée par Christophe Leriche, a été organisée par la ville de Douchy-les-Mines, la communauté d’agglomération de la porte du Hainaut (CAPH) et l’Espace info énergie de cette même CAPH. La caméra thermique à rayonnement infrarouge permet de déceler les pertes de chaleur plus ou moins importantes. Cette rencontre donne également la possibilité de bénéficier de précieux conseils concernant la marche à suivre afin d’améliorer la performance énergétique de son logement. D’autres balades seront peut-être organisées l’hiver prochain.


Gilbert : « J’ai trouvé cette balade très positive. Nous avions avec nous un technicien qui connaît son sujet et qui ne se prend pas la tête. Une tournée intéressante qui doit être exploitée et reconduite. Un sérieux dans les explications. Nous avons pu nous rendre compte des déficiences thermiques de nos habitations. Ce sont déjà des informations importantes, après reste à savoir si les personnes concernées vont, ou pourront effectuer les travaux reconnus comme utiles. Ensuite, y aura-t-il un suivi ? D’autres questions se posent : comment utiliser cet outil pour sensibiliser les habitants ? Comment avertir, informer les habitants des possibilités financières mises à leur disposition pour les travaux ? Qui peut transmettre ces informations ? Qui prendra l’animation de ces réflexions ? Cela demande un débat et des réponses, car nous sommes pour la plupart convaincus de l’importance de ces découvertes thermiques. »


Info-Énergie : Renseignements, uniquement sur rendez-vous au 03 62 53 25 19 : 
Denain : au CCAS 120 rue de Villars, les 1er et 3ème mardis du mois de 9h à 12h ;
Bouchain : au Centre médico-social rue Georges-Daix, les 1er et 3e jeudis du mois de 14 h à 17 h ;
Saint-Amand-les-Eaux : au CCAS Espace solidarité Raymond Bédé, carrefour de l’Europe, les 1er et 3e vendredis du mois de 9h à 12h ;
La Porte du Hainaut Z.A du Plouich, rue du commerce à Raismes, du lundi au jeudi (8 h 30-12 h 30 et 13 h 30-17 h) et le vendredi (8 h 30-12 h 30 et de 13 h 30 à 16 h).

Les décideurs locaux continuent à promouvoir l’artificialisation des sols

Triste constat de l’Autorité environnementale : partout dans le pays, les collectivités locales continuent à établir des documents d’urbanisme qui prévoient une forte consommation d’espace.


L’Autorité environnementale (AE) a présenté le 7 mars dernier son bilan d’activité 2016. Il fait la synthèse des travaux des Missions régionales d’autorité environnementale (MRAe). Celles-ci ont rendu plus d’un millier de décisions ou avis portant dans leur grande majorité sur des documents d’urbanisme.

On y a découvre que l’artificialisation des sols continue rapidement en France, et que les documents d’urbanisme des collectivités locales n’y mettent guère de frein.

Pourtant, les outils législatifs sont nombreux pour enrayer cette consommation folle de l’espace.
- la stratégie nationale de transition écologique vers un développement durable 2015-2020 promeut une « nouvelle réflexion pour limiter l’artificialisation et la consommation des terres agricoles ».
- La loi relative à la solidarité et au renouvellement urbain (SRU), du 13 décembre 2000, a introduit dans la législation de l’urbanisme la notion de renouvellement urbain, mettant l’accent sur la nécessité d’une gestion économe du sol et d’une maîtrise du développement urbain.
- la loi du 12 juillet 2010, dite "Grenelle II", et la loi du 24 mars 2014 pour l’accès au logement et un urbanisme rénové (ALUR), incitent les communes à mener un travail d’analyse des réserves de logement dans le bâti existant avant d’envisager une extension des surfaces urbanisées.
- la loi du 27 juillet 2010 de modernisation de l’agriculture et de la pêche assigne l’objectif de réduire de moitié le rythme de consommation des terres agricoles d’ici 2020.
- la loi d’avenir pour l’agriculture, l’alimentation et la forêt de 2014 étend aux espaces naturels et forestiers les mesures prises pour le contrôle de la consommation des espaces agricoles (création des CDPENAF, commissions départementales de préservation des espaces naturels, agricoles et forestiers).
- Enfin, le taux d’artificialisation des sols fait partie des nouveaux indicateurs de richesse sélectionnés suite à la loi dite « Eva Sas » du 13 avril 2015.


Mais tout cet arsenal ne semble pas infléchir le goût du béton des décideurs locaux. Les surfaces artificialisées ont été estimées entre 3 et 5 millions d’hectares de 1981 à 2012, soit une progression de 1,64 % par an et un rythme d’artificialisation moyen de 67.000 ha/an.

Certes, la consommation d’espace liée à l’habitat tendrait à diminuer au cours des dernières années, mais celle liée aux activités augmente continuellement depuis 2009.

L’Autorité environnementale contate que la consommation d’espaces naturels et agricoles reste forte dans les documents d’urbanisme, y compris dans les territoires en déprise.

Elle observe ainsi que :
- L’impact des projets reste néanmoins trop souvent analysé à l’aune du précédent document d’urbanisme, en règle générale plus consommateur d’espace, et non au regard de l’état actuel du territoire. L’impact environnemental du projet de document est alors sous-évalué, voire considéré comme positif relativement au précédent document opposable.
- La justification des besoins d’urbanisation reste trop peu développée. La possibilité d’adapter l’offre foncière aux besoins réellement constatés (zonage 2AU) n’est pas toujours exploitée.
- Les hypothèses de croissance démographique ou économique sont souvent optimistes, voire manifestement surestimées. Dans certains secteurs, elles sont en décalage sensible, et parfois opposé, avec les tendances observées depuis plusieurs années.
- Les dossiers sont rarement étayés par un projet cohérent de territoire, intégrant économie, réhabilitation des centres villes ou centre-bourgs, rénovation de l’habitat, association des propriétaires et copropriétaires...
- Dans les zones rurales et périurbaines, les évolutions proposées ne témoignent pas d’une volonté de rompre avec les tendances antérieures, qui pourraient notamment se traduire par des formes d’habitat plus denses ou un projet porté par une réflexion plus collective.


Au fait, c’est quoi, l’artificialisation des sols ?

On appelle « artificialisation des sols » la transformation de terres agricoles, naturelles ou forestières en terrains recouverts en tout ou partie d’un revêtement minéral. On parle aussi de « consommation d’espace » ou de « consommation foncière ».

D’après le service de l’observation et des statistiques (SOeS) du ministère de l’environnement, deux tiers des terres artificialisées sont imperméabilisées, en sols non bâtis (parkings, routes, ...) et en sols bâtis. Ce sont essentiellement des sols agricoles de bonne qualité agronomique qui sont consommés.

L’artificialisation concerne en premier lieu les terres agricoles et provoque des pressions majeures sur l’environnement :
- l’imperméabilisation des terrains favorise le ruissellement. La réduction de l’infiltration réduit la recharge naturelle des nappes et l’évapotranspiration. Il en résulte une aggravation des crues, une diminution des débits d’étiage et une augmentation locale des températures en période estivale. 
- l’urbanisation peut conduire aux pollutions, chroniques ou accidentelles, des nappes alluviales ou karstiques, naturellement peu protégées ;
- l’artificialisation des sols appauvrit la biodiversité, par la disparition des habitats ou par leur morcellement.

Ce que les « Monsanto Papers » révèlent du Roundup

La justice américaine a déclassifié des correspondances internes de la firme. Dès 1999, cette dernière s’inquiétait du potentiel mutagène du glyphosate.


Rarement hasard du calendrier aura été plus embarrassant pour une agence d’expertise. Dans le cadre d’une action intentée contre Monsanto, la justice fédérale américaine a déclassifié, jeudi 16 mars, plus de 250 pages de correspondance interne de la firme agrochimique, montrant que cette dernière s’inquiétait sérieusement, dès 1999, du potentiel mutagène du glyphosate, principe actif de son produit phare, le Roundup, et molécule phytosanitaire la plus utilisée au monde.

Or le 15 mars, à la veille de la publication de cette documentation confidentielle, l’Agence européenne des produits chimiques (ECHA) annonçait qu’elle ne considérait le glyphosate ni comme cancérogène ni même mutagène – c’est-à-dire capable d’engendrer des mutations génétiques.

Pour Monsanto, l’affaire est cruciale : le Roundup est la pierre angulaire de son modèle économique, fondé sur la vente liée de ce pesticide et des cultures transgéniques capables de le tolérer.

Ces documents internes de la firme de Saint Louis (Missouri) ont été rendus publics dans le cadre d’une action collective portée devant une cour fédérale de Californie par plusieurs centaines de travailleurs agricoles touchés par un lymphome non hodgkinien (un cancer du sang). S’appuyant sur un avis rendu en mars 2015 par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), les plaignants attribuent leur maladie au contact prolongé avec l’herbicide commercialisé par Monsanto. 

Connivences
Les précédentes archives déclassifiées dans le cadre de cette affaire ont notamment montré que Monsanto avait bénéficié de connivences au sein de l’Agence de protection de l’environnement (EPA), chargée aux Etats-Unis d’évaluer la sûreté du glyphosate (Le Monde daté du 17 mars).

Cette fois, les courriels mis au jour racontent une autre histoire. En 1999, les cadres de Monsanto souhaitent faire appel aux services d’une autorité scientifique incontestable pour plaider la cause du glyphosate auprès des régulateurs européens. Tout l’enjeu est de les convaincre que le produit n’est pas génotoxique.

La liste des produits contenant ou pouvant contenir des nanoparticules

Les nanoparticules se sont introduites secrètement dans nos assiettes via certains additifs alimentaires. Leur présence superflue nous fait courir des dangers sanitaires et environnementaux graves. Refusons d’être les cobayes de cette technologie incontrôlée. Interpellons les industriels !

vendredi 17 mars 2017

Comment définir la permaculture simplement ?

Une démarche éthique, tout d’abord, car nous avons besoin de poser ensemble notre cadre de valeurs pour construire un monde, une société durable plus juste, tempérer les égoïsmes instinctifs et apprendre des erreurs du passées. Le cadre éthique est donc d’une grande importance.

Une démarche de conception, car ces habitats humains durables sont des systèmes nourriciers, organisationnels, structurels qu’il va falloir amener à l’efficacité énergétique, la résilience et la stabilité pour construire ce monde durable auquel nous aspirons.

Imiter le fonctionnement de la nature est aussi fondamental. Cela se fait grâce à un cadre de pensées, une série de principes universels que l’on appelle les principes de permaculture, élaborés par les fondateurs Bill Mollison et David Holmgren. Ces principes sont des guides pour nous permettre d’imiter la nature au mieux afin de créer des “écosystèmes cultivés” autonomes et durables.

Enfin, avec la permaculture, on est en présence d’un outil et non un dogme. C’est un outil de résolution des problèmes qui va nous aider à franchir les enjeux sociaux, environnementaux qui nous attendent et à vivre cette transition écologique inéluctable. À l’inverse, un dogme amène de la séparation, de l’intolérance et des clivages, le fameux « c’est ou ce n’est pas permaculture ». Laissons donc cette démarche à sa place.


lundi 13 mars 2017

AGRICULTURE : LES SOLUTIONS ALTERNATIVES AUX PESTICIDES

Rotation des cultures, lutte biologique, plantation de haies… les solutions existent pour supprimer les pesticides. Pour les mettre en place, une modification des pratiques et de l’organisation du système agricole est nécessaire.


En savoir plus

Les Néerlandais, champions européens du bus électrique

Une flotte d’autobus à batteries – exceptionnelle par sa taille – est exploitée depuis trois mois dans le sud des Pays-Bas par une filiale du français Transdev. Reportage.


En savoir plus sur LeMonde.fr

mercredi 8 mars 2017

Lettre d'information du Parc naturel régional Scarpe-Escaut N°44 # Mars 2017


Il y a 50 ans, commençait l'aventure des Parcs naturels régionaux de France ! Les célébrations de cette année anniversaire ont débuté aujourd'hui dans le Parc naturel régional de la Haute Vallée de Chevreuse avec Barbara Pompili, secrétaire d'Etat chargée de la biodiversité, Philippe Richert, président de Régions de France et de nombreux élus et partenaires engagés à nos côtés. à suivre...


Vous pouvez d'ores et déjà noté le Vilage des Parcs à Bercy Village à Paris du 12 au 15 octobre 2017 : les 51 parcs mettront en avant leurs producteurs et produits de terroir qui seront proposés à la dégustation et à la vente aux visiteurs.


lundi 6 mars 2017

L’environnement dégradé tue 1,7 million d’enfants chaque année

Pollution de l’air, eau souillée, tabagisme passif… Deux études de l’OMS dressent un tableau alarmant de la santé infantile.


samedi 4 mars 2017

Changer la société à coups de panier

Les amap sont nées en France en 2001. En 2012, il y avait en France 1600 amap pour 273 000 amapiens et depuis le nombre ne cesse d'augmenter. Longtemps présentées comme un frisson de terroir et de bio pour bobos urbains, elles sont en fait un autre moyen de consommer. Par les amap, nos 3 repas par jour, 4 pour les plus gourmands, deviennent un acte positif au niveau écologique, agricole et social, mais aussi en terme économique et politique.


Bref, il est temps de se demander si on ne pourrait pas changer le monde à coups de panier, tout simplement...


Le rapport publié par l’association Générations futures en février 2017 relatif à l’analyse des cheveux de sept personnalités proches de l’écologie a été fortement relayé dans les médias ces deux dernières semaines. Cette initiative avait pour objet d’agir sur les membres de la Commission européenne qui s’apprêtaient à définir juridiquement et réglementer les perturbateurs endocriniens. Depuis 2013, en effet, la Commission européenne rechigne à légiférer et, a minima, souhaite mettre en avant des exceptions qui viderait de sa substance un texte protecteur pour les citoyen/nes européennes.

Faut-il être riche pour manger sain en ville ?


Eh oui, quand on habite en ville, que l’on n’a ni balcon, ni terrasse, ni potager, difficile de manger sain sans payer le prix fort dans certaines grandes enseignes bio qui fleurissent partout.
Ces enseignes ont bien compris le besoin et la préoccupation des consommateurs pour le contenu de leur assiette, et font du greenwashing* en flirtant avec la tendance.
Or, elles ne répondent qu’à une infime partie de la population en faisant de la discrimination par le prix, car ces magasins qui proposent des produits bios, sains et éthiques restent inaccessibles pour les foyers à petits et moyens revenus.
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