lundi 7 janvier 2019

Oui-oui et le changement climatique

Comment ne pas sauver la planète mais avec le sourire


Le 8 octobre 2018, un double événement sembla marquer les noces de l’économie et de la question environnementale : la banque de Suède décerna son prix « Nobel » à William Nordhaus pour ses travaux intégrant des données climatiques ; le même jour, le GIEC publia avec urgence un rapport présentant les conséquences d’une augmentation des températures terrestres de 1,5 à 2°C. Pour de nombreux observateurs soulagés, c’était bon, les économistes allaient enfin s’occuper de la question climatique. D’autres plus tatillons remarquaient que « les rapports ne servent à rien ». Un lecteur attentif de Grozeille, énervé par la teneur en général médiocre du débat médiatique, nous envoie cet article qui décortique avec précision la question technique pour montrer qu’il faudra bien, si nous souhaitons garder une planète vivable, prendre à bras-le-corps la dimension politique du problème climatique.

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