Depuis l’investiture de Donald Trump à la présidence des États-Unis, lundi 20 janvier, chaque nouvelle seconde pèse lourd en émissions de CO2 et en pollution : retrait de l’accord de Paris sur le climat, moratoire sur les nouveaux permis d’éolien en mer et menaces sur certains projets autorisés, affaiblissement de la réglementation sur les forages pétroliers et les mines, mise en question du cadre juridique des politiques de réduction du dioxyde de carbone, remise en cause des aides aux voitures électriques, relance de terminaux d’exportation de gaz naturel liquéfié (GNL), doute sur le maintien de la protection de l’éperlan du delta, ce petit poisson au cœur d’une polémique entre Trump et le gouverneur de Californie.
Sans oublier la suppression de programmes antipollution d’habitant·es de quartiers populaires.
Et l’annonce mardi 21 janvier d’un gigaprogramme de centres de données, très énergivores, pour développer la nouvelle génération d’intelligence artificielle.
Pour sauver son aéroport de Pau, le chantage de Bayrou aux dépens de la santé de milliers de Franciliens
À l’automne dernier, François Bayrou a fait pression sur Michel Barnier, alors premier ministre, pour qu’Air France maintienne la déficitaire liaison Pau-Orly. En échange, la compagnie a exigé que le plan de réduction des nuisances nocturnes d’Orly soit le moins restrictif possible.
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