lundi 18 novembre 2019

Agroécologie : les limites de la méthanisation

Pour valoriser les déchets organiques (déchets agricoles, effluents d’élevage et des industrie agro-alimentaires), la méthanisation est une piste séduisante. Mais les sous-produits de la méthanisation, des digestats solides et liquides, riches en azote et en matière organique, qui sont ensuite épandus dans les champs.

Centrale de biomasse © Getty / hohl

Invité du jour Lionel Ranjard est spécialiste d’agroécologie et de la biodiversité des sols à l’INRA de Dijon. Il participe à un groupe de réflexion (METHA-REV) qui associe des industriels comme GRDF, qui gère le réseau de gaz français, de grandes ONG (WWW, GERES), des chambres d’agriculture et des associations de riverains. Ce groupe définit des projets scientifiques qui visent à répondre aux questions que posent les digestats de méthanisation.

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