La semaine dernière, la condamnation de Greenpeace à verser plus de 665 millions de dollars au groupe américain Energy Transfer, l’exploitant d’un oléoduc du Dakota du Nord contre lequel l’ONG avait manifesté, a produit l’effet d’un électrochoc. Pour Brian Hauss, avocat à l’Union américaine pour les libertés civiles, ce procès est une façon de “taxer [certaines] prises de parole” et de rendre trop coûteux le fait de critiquer “des entreprises procédurières et influentes”, explique-t-il au Guardian.
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