Des chercheurs estiment que la réintroduction d’espèces animales dans des zones où elles ne sont plus présentes pourrait contribuer à reconstituer des environnements susceptibles de capter des quantités significatives de dioxyde de carbone.
La réintroduction d’espèces sauvages comme le bison (ici en Alberta, au Canada) dans des zones où ils ont disparu pourrait contribuer à capter du CO₂ de l’atmosphère. Artur WIDAK/NurPhoto/AFP
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