Malgré une année plus catastrophique que jamais, les chances de faire progresser la lutte contre le changement climatique sont au plus bas à l’ouverture de la 29ème conférence mondiale (COP29) sur le climat, à Bakou en Azerbaïdjan. Voici les ombres qui vont planer sur l’examen d’au moins trois dossiers clés.
À l’ouverture de la COP29, dimanche 10 novembre 2024 à Bakou (Azerbaïdjan) © Alexander Nemenov/AFP
Les plus riches vont-ils enfin payer leur dette climatique ?
La COP29 a démarré le 11 novembre en Azerbaïdjan. Le montant et le financement du fonds à destination des pays les plus vulnérables au changement climatique sera au cœur des négociations.
COP29 : la mainmise des États pétroliers et autoritaires
Après l’Égypte et les Émirats arabes unis, l’Azerbaïdjan s’apprête à accueillir la COP. Un pays qui, comme ces autres États hôtes du sommet sur le climat, mise sur les hydrocarbures et réduit au silence les voix divergentes.
Le logo de la COP29 apparaît sur la façade d'un bâtiment à Bakou, la capitale azerbaïdjanaise, le 11 septembre 2024.
© AFP / Tofik Babayev
« En encourageant le développement technologique et les énergies propres, la France peut échapper à une trajectoire d’austérité »
Le gouvernement doit investir dans les technologies vertes, porteuses de croissance, affirment les chercheuses Tanya Filer et Cristina Peñasco dans une tribune au « Monde ».
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire