jeudi 7 novembre 2024

Rachel Carson, lanceuse d'alerte

Tous les yeux sont aujourd’hui, mercredi 06 novembre, tournés vers les élections américaines. Le résultat, que nous redoutions, accompagnera cette puissance mondiale à poursuivre son règne, celui du climato-scepticisme, d’un patriotisme en roue libre, de la folie des grandeurs, d’absence de culture politique, de régression des droits des femmes et des humains, et la liste continue… 


Alors nous vous proposons une bouffée d’air frais, restons tourné·es vers les États-Unis, mais (re)parlons de Rachel Carson, la célèbre lanceuse d’alerte.


Manger pour vivre, manger pour grandir, mange ça te fera du bien, tu devrais manger plus, tu devrais manger moins, tu devrais manger mieux, c’est de la nourriture, pas de l’amour, j’ai trop mangé, j’ai encore faim, y a rien à manger, faut faire les courses, t’as préparé le repas, il n’y aura jamais assez, ça en fait des restes, finis ton assiette, y a rien de végé, on mange quoi ? À lire ces quelques lignes, l’angoisse nous prend, et remonte jusqu’à la gorge.


On s’y retrouve, on se reconnaît : ces phrases alimentent nos quotidiens respectifs. Tous les jours : manger – et trois fois dans la journée. Tous les jours, inlassablement, y penser.


Le commerce équitable permet aux consommateur·rices de contribuer à un système commercial plus juste, en soutenant des pratiques éthiques, respectueuses des travailleur·euses et de l’environnement. Le café zapatiste, cultivé par des communautés autochtones au Chiapas au Mexique, est l’un des exemples inspirants de cette approche. Cet article explore les principes du commerce équitable et les spécificités du café zapatiste.

(Photo by Giles Clarke/Getty Images)

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